Publicité

Publicité
Le nouveau roman de de Monak à lire absolument

dimanche 5 février 2017

FIFLASH 2017 - 01




La nuit du court

Avant le lever de rideau sur le festival proprement dit, les festivités ont commencé le samedi 4 février par la « Nuit du court »…

Lors des précédentes éditions, cette « nuit du court » (qui propose des fictions et pas des documentaires) nous a souvent enchantés, surpris, étonnés, et pour tout dire ravis.

Soyons clairs : l’édition 2017 nous a déçus. L’impression générale est celle de films à peine sortis de l’amateurisme. Des scénarios inaboutis, des réalisations très conventionnelles ou non maîtrisées et des montages souvent approximatifs. Déçus vous dis-je !...

Nous ont tout de même séduits (si pas pleinement satisfaits) :
-            « Bluey » film australien de Darlene Johnson : belle réalisation, très sensible, malgré une fin un peu convenue et bâclée.
-            « Je ne pleurerai plus » production néo-calédonienne de Olivier Gresset : Une réalisation conventionnelle, mais un scénario et des acteurs convaincants.
-            « Tits on a bull » film néo-zélandais de Tim Worall : un vrai bon sujet, hélas pas exploité comme il aurait pu l’être et, là encore une fin facile et prévisible.
-            « Faafaite by Pepena » réalisation polynésienne de Virginie Tetoofa : de très loin le meilleur moment de la soirée. Des images magnifiques, une réalisation vraiment originale, une interprétation parfaite et une magnifique bande son. Et pour le prouver, je vous invite à le visionner tout de suite !

« Faafaite by Pepena » : le film de la soirée
            On regrettera également que les cinq films polynésiens projetés avaient tous déjà été vus, soit à la télévision soit sur Internet.

            Pour connaître le travail de certains réalisateurs du Fenua, je me demande vraiment ce qui a pu guider le comité de sélection vers ces choix là…

            En attendant, le festival officiel n’a pas encore commencé, donc : tous les espoirs sont permis ! 

En attendant : Fifotez, Fifotez, il en restera toujours quelque chose !

Un article de Julien Gué


Tous droits réservés à Julien Gué. Demandez l’autorisation de l’auteur avant toute utilisation ou reproduction du texte ou des images sur Internet, dans la presse traditionnelle ou ailleurs.


Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire

Cet article vous a fait réagir ? Partagez vos réactions ici :